dimanche 24 février 2013

Enregistrement 4K : tableau comparatif


Sur Canon Digital Learning Center, un tableau intéressant montrant les différentes possibilités d'enregistrement en 4K sur recorder externe. Les enregistreurs testés sont : AJA Ki Pro Quad, Codex Onboard S/M et Convergent Design Gemini 4:4:4


jeudi 21 février 2013

Le déficit des annexes 8 et 10 des intermittents du spectacle n'existe pas

Une mise au point salutaire (sans aucun doute !) de la Coordination des Intermittents et Précaires d'Ile-de-France :

Voir aussi la mise au point (ou désintoxication) effectuée par la CIP-IDF suite à l'émission "C dans l'air" du 29 janvier 2013 : On pourra regarder aussi l'intervention de Mathieu Grégoire, Maitre de conférence à l'Université de Picardie, entendu par la mission d'information sur l'emploi dans les métiers artistiques, le 20 décembre 2012 à l'Assemblée Nationale.

samedi 16 février 2013

Canon Cinema RAW Software : le RAW facile sur C500

En effet, le petit logiciel mis à disposition gratuitement par Canon permet l'ingest et l'export sans problème des fichiers RAW de la C500. L'interface intuitive permet aussi d'émuler les LUT de différentes caméras : Alexa, Blackmagic, F65, RED... Quelques modifications de base de l'image sont permises à travers des contrôles de gammas, netteté, balance des blancs ou brightness. Des informations sont aussi fournies sur chaque clip et on peut utiliser le logiciel pour visionner sur un moniteur externe (en utilisant une carte d'extension avec sortie SDI).
Les codecs disponibles pour l'export sont le DPX 10 ou 16 bits et le ProRes 4444. On pourra aussi exporter des proxies en 720x480 ou 1920x1080 en même temps que le codec choisi et appliquer des gammas tels que le Rec709 ou Canon Log aux fichiers.


Etendue dynamique sur Blackmagic Cinema Camera

Une petite comparaison entre la dynamique permise par la caméra de Blackmagic en mode RAW et celle d'un Canon 550D en mode vidéo (pas forcément le meilleur choix possible). Sans surprise, c'est la Blackmagic qui montre le plus de flexibilité - particulièrement dans les hautes lumières.

Dynamic Range on the Blackmagic Cinema Camera from Iain Anderson on Vimeo.

dimanche 10 février 2013

Considérations sur l'enseignement de l'audiovisuel et l'avenir des technologies

Une constatation tout d'abord : il n'existe pas de savoir formel des données de l'expérience.  Ce savoir a été acquis - ou pas - par l'expérience elle-même. Ainsi, il n'existe pas de savoir formel (formalisé) de la prise de son en reportage ou du montage avec des logiciels informatiques. Il y a un ensemble de pratiques qui se sont imposées, dans les sociétés de l'audiovisuel, et ont fini par constituer un "code of practice", mais elles ne remplacent pas l'expérience, c'est à dire le savoir acquis par la pratique dans les conditions de production telles qu'on les rencontre dans l'audiovisuel au sens large.
La technologie vient renforcer en quelque sorte ce savoir mais, l'utilisation des machines est elle-même tributaire des pratiques qui se développent pendant les processus de travail. On connait bien cet aller-retour de savoirs et d'expériences entre praticiens et concepteurs des machines : le développement des caméras, des consoles ou des logiciels est ainsi tributaire de ces retours d'expérience - c'est ainsi qu'apparaissent des interfaces qui sont précisément issues du dialogue engagé entre les utilisateurs et les ingénieurs, ou des modifications de l'ergonomie de certains équipements à la suite d'observations transmises par leurs futurs utilisateurs.
Et puis, il y a un autre cas de figure : celui qui apparait comme une conséquence de l'utilisation d'une machine et qui n'était pas prévue à l'origine - ou tout simplement pas exploitée dans ses premières configurations. C'est ainsi que des appareils photo numériques ont été dotés de capacités vidéo. Au départ cela tenait plus de la fonctionnalité supplémentaire qui est faite au fond pour ne pas servir. En réalité, ce petit plus a permis l'émergence en très peu de temps d'une demande pour des dispositifs de filmage qui s'apparentent, par leur rendu, à ceux existant au cinéma (ceci étant permis par la taille des capteurs des APN). Conséquence inattendue, mais qui aura très vite une autre implication sur le marché : la baisse des coûts de production et l'apparition d'une gamme de caméras à prix réduit, mais permettant de reproduire pour l'essentiel ce qui s'apparenterait à l'image cinématographique. Il est évident que de tels développements n'auraient pas eu lieu si on s'était contenté de photographier avec ces APN, ou si les industriels (Nikon le premier d'ailleurs) n'avaient pas jugé utile d'inclure cette possibilité dans le dispositif de prise de vue. Encore une fois ce sont des données relatives à l'expérience des utilisateurs qui ont permis de donner à cette expérience un véritable prolongement industriel. D'une manière ou d'une autre, c'est d'innovation technologique qu'il s'agit, et celle-ci ne trouve réellement son application que parce qu'il existe une logique des usages, à l'œuvre dans la relation qui existe entre le monde industriel et les utilisateurs. C'est ce feedback qui permet de modifier certains produits et de les rendre plus conformes aux aspirations des usagers ou à l'air du temps...
Mais on notera aussi  que cette logique de l'usage n'est pas celle de la rationalité industrielle ni celle des pratiques professionnelles - généralement conservatrices - ces dernières concernant le plus souvent des groupes ou des corporations qui cherchent surtout à protéger leur position dans la profession, et à empêcher aussi l'arrivée de nouveaux entrants en trop grand nombre - ce qui est d'ailleurs l'un des effets induits par la baisse des coûts de la technologie. Le numérique a aujourd'hui pour effet que tout un chacun peut devenir cadreur, ou monteur ou encore créer son propre studio d'enregistrement, moyennant dans tous les cas un investissement raisonnable.
Il a aussi une autre conséquence, moins visible pour le moment : il relativise l'importance de l'enseignement et des formations spécialisées. A l'heure actuelle c'est une tendance qui n'est pas encore pleinement réalisée en France, en raison du goût immodéré de ce pays pour les diplômes, mais dans d'autres pays, en Amérique du Nord, en Afrique ou en Asie, la tendance est là : on fabrique et on diffuse, sans se soucier de l'acquisition d'un savoir formalisé. Les coûts de production en chute libre rendant les retours sur investissement plus faciles à réaliser dans des pays où les rémunérations sont bien moins élevées que dans les pays traditionnellement producteurs de programmes (dans le même temps, ce sont des caractéristiques culturelles qui empêchent la délocalisation de la production dans les pays qui constituent les BRICS, par exemple).
Deux conséquences, donc :
- Une révolution technologique qui induit de nouveaux usages de la technologie et une baisse des coûts de production.
- Dans le même temps, une dilution progressive des identités professionnelles traditionnelles (perte de la notion de métier, disparition des corporations, affaiblissement des circuits traditionnels de la formation professionnelle...)
Le feedback c'est :
- Apparition de nouveaux outils de production, toujours plus nombreux, moins chers et plus versatiles.
- La caractéristique principale de ces nouveaux outils est qu'ils font appel pour tout ou partie aux technologies de l'information (autrement dit, chaque machine devient plus ou moins un ordinateur connecté au réseau) 
- Le cœur du système de production des innovations technologiques est en train de quitter le monde occidental et se re-localise en Extrême-Orient (ce que l'on voit bien à travers le rythme des publications scientifiques et des brevets).
Donc, et pour le dire en raccourci : au lieu de former des cadreurs ou des monteurs on ferait bien de former des ingénieurs.

Fig.1 : Ceci est une caméra

Fig.2: Ceci aussi est une caméra

On distingue principalement deux types d'innovations technologiques (celles qui nous intéressent ici) :
- Les innovations de produits
- Les innovations de procédés
(pour une définition : voir le site de l'OCDE ou le Manuel d'Oslo)
Localisation des principales entreprises innovantes dans le secteur des technologies de l'information :
- Au Japon, en Corée du Sud, en Chine
- Quelques unes aux Etats-Unis, mais elles externalisent (pour la plupart) leur production en Chine
- Il reste bien quelques grands groupes en Europe (Nokia, Siemens...) mais pour combien de temps ?
Mais ne l'oublions pas : si l'appareil photo s'est transformé, c'est aussi parce que d'autres objets techniques familiers ont dépassé leur utilisation d'origine et sont devenus "autre chose" : "[c'est ainsi que] l'objet "télévision" a accompli un saut qualitatif spectaculaire : depuis le début du XXIème siècle, en effet, c'est devenu un écran sur lequel arrivent des images et des sons provenant d'un ordinateur ou d'un serveur. Le téléviseur n'est que la composante visible d'un réseau(...) La Troisième Phase commence avec l'avènement de l'informatique et de la télématique, mais elle triomphe avec l'avènement du Net et des gadgets connectés à celui-ci. Ce phénomène a changé la nature de plusieurs objets quotidiens : la télévision était à peine plus qu'un objet domestique jusqu'à ce qu'elle soit entraînée vers les territoires du Net; la même chose est arrivée au téléphone, un autre objet "aimable" qui s'est transformé en puissante "base de lancement" vers d'autres mondes." (Raffaele Simone, Pris dans la Toile. L'Esprit aux temps du Web, p. 37, Gallimard 2012)

samedi 9 février 2013

Paroles de professionnels de l'audiovisuel

Parfois, on se dit que ce qui manque le plus dans les formations à l'audiovisuel, c'est d'écouter et de faire écouter ce que disent ceux qui font réellement le cinéma et la télévision d'aujourd'hui : techniciens, réalisateurs, producteurs, décorateurs, maquilleurs... et comédiens, bien sûr. L'Observatoire des métiers de l'audiovisuel, en plus de ses publications, a mis en ligne plusieurs vidéos, plutôt édifiantes, montrant à travers des témoignages comment on devient réellement Chef monteur ou Ingénieur du Son, ou encore Machiniste. Assez loin du discours que l'on entend généralement dans les établissements...



  

jeudi 7 février 2013

Filmer le travail 2013 à Poitiers : clap début !

Un festival original et indispensable parmi la flopée d'évènements plus ou moins intéressants consacrés au cinéma. En tous cas au moins autant que le Festival du film de La Rochelle, et certainement plus que le calamiteux rassemblement des "francophones" d'Angoulême au mois d'août. Au moins ici on a quelque chose à dire et, en plus cette année une rétrospective Frederic Wiseman, pour tous ceux qui n'auraient pas déjà tout vu et revu de cet important documentariste.
C'est du 8 au 17 février, et ça commence demain avec la projection de "The Store" à l'Espace Mendès-France à Poitiers.

lundi 4 février 2013

Workflow Sony D-cinéma et 4K : RAW, XAVC, SR

Les dernières informations concernant les spécifications de workflow sur les caméras D-Cinéma 4K de Sony, telles qu'elles sont publiées dans le dernier numéro de Film and Digital Times :





Et un tableau des résolutions, codecs et débits pour les différentes résolutions et selon les types de média utilisés :

Etendue dynamique : film vs numérique (eh oui, encore !)

Toujours le même débat qui continue d'alimenter la controverse entre DP, producteurs, étalonneurs... Comment évaluer l'étendue dynamique (et partant, la reproduction des contrastes) entre les supports argentiques et numériques. Après le Great Camera Shootout de Zacuto, en 2011 (voir ci-dessous le compte rendu vidéo de la session consacrée à l'évaluation de la dynamique de différentes caméras film et d-cinéma), le blog de Wolfcrow a publié la liste des nominations aux Oscars pour la meilleure photographie. Et là, a priori sans surprise, "the winner is" : Kodak Vision3, même si la firme a déposé le bilan depuis un an déjà. En effet, les sept premiers nominés utilisent cette émulsion, et il faut arriver à la 8ème place pour trouver du numérique (Arriraw). Que faut-il en conclure ? Supériorité indéniable de la pellicule sur le numérique ou conservatisme impénitent des DP hollywoodiens ? Pour nous la réponse est loin d'être évidente, car tout dépend bien sûr des conditions d'utilisation, c'est à dire des images qui sont produites pour chaque film. On comprend bien en effet que, pour Lincoln, le cahier des charges était très différent de celui de Zero Dark Thirty.

Réforme du BTS Audiovisuel : un coup pour rien et un coup de gueule

Bon, on ne s'attardera pas sur les quelques "réformettes" en voie de validation : c'est tout à fait insignifiant, si l'on excepte le passage en "contrôle en cours de formation" (autrement dit : contrôle continu) de certains enseignements pratiques (comme ça on couvre en toute tranquillité l'incompétence manifeste de certains enseignants qui pourront faire à peu près ce qu'ils veulent avec la bénédiction de leurs proviseurs et chefs de travaux respectifs, puisque désormais il n'y aura plus de sanction par un examen national, ou plus exactement par un jury extérieur à l'établissement). En revanche, voici un texte intéressant écrit par un collègue, qui dit bien ce que nous sommes tout de même un certain nombre à penser :
 
Réduire la DLA pour plus de technique afin d'ouvrir plus de "places", y compris en montage donc, aux STI , c'est un des buts de l'apport de M. Cimelli [NDLR :  IPR en charge du BTS Audiovisuel] à cette réforme. 
D'ailleurs, chaque changement est simplement pour "récompenser" le soutien à cette réforme, des promoteurs de la réforme: aucune réflexion sur le fond, sur nos métiers, sur la réalité des options et de nos métiers.
Alors que le statut des intermittents est remis sur le tapis cette année (2003-2013). Tiens d'ailleurs voici un lien qui circule en ce moment: http://mouvement.net/analyses/enquetes/intermittence-et-emploi-culturel-une-analyse-decapante
 
 
Cela convient très bien à certains enseignants qui sont incapables de se mettre à jour ou d'accepter de devoir évoluer techniquement, le passage en CCF leur permettant de faire des cours de couture s'ils le voulaient. Certains, syndicalistes contestataires devant l'éternel, sont d'un silence assourdissant sur cette réforme !
Cela convient très bien à certains chef des travaux qui savent qu'ils n'ont pas les moyens de former correctement des étudiants (ou qui s'en cognent): ils pourront facilement avoir 100% de réussite maintenant !
Cela convient aussi à d'autres qui pensent que cela va faire ressortir leur BTS du lot par rapport à un autre avec lequel ils seraient en concurrence (en cela, ils ignorent qu'historiquement ca ne fonctionne pas comme cela... et qui ignore l'histoire est condamné à la répéter)

Au milieu, il est clair que la pertinence de nos formations, l'honnêteté de celles ci vis a vis des parents, des étudiants et même des professionnels n'existe pas. Une bonne partie s'en fout: "tant que j'ai mes heures en BTS AV, payées plus que les heures en lycée (1,25 pour 1 heure), avec un public bien plus facile et bien plus de moyens, je m'en cogne." Au milieu, ceux qui s'en inquiètent reçoivent rires et quolibets et la majorité reste silencieuse.

Ne fallait il pourtant pas réformer ?
Bien sur que si mais c'est surtout les programmes qu'il fallait réformer ! Cela fait plus de 5 ans que tombent à l'examen des notions qui ne sont pas prévus dans les programmes ! De plus, dans nos métiers, ca évolue tellement vite...
Résultats: pas un mot, depuis le début de cette histoire, sur les programmes.

Il y a aussi le référentiel de compétences. Personne n'en parle.
Or, nos métiers ont évolués depuis 2002. Quelques exemples:
- le travail de dérushage sur bande n'a rien à avoir avec celui, en AMA, sur carte ou sur disque dur.
- le poste de responsable Intercom, tache limite subalterne à l'époque du 2-fils, est devenu l'alpha et l'omega.
- la gestion des H.F est devenue bien plus complexe qu'avant.
- la multiplication des pistes vidéos et audio dans les sessions de montage, la post production son qui se fait en même temps que celle de l'image, (et d'autres choses...): tout cela nous obligent à modifier les méthodes de travail.
- le "tout-réseau", autant en vidéo qu'en son, modifie complètement la donne. On se focalise bien moins sur le signal et bien plus sur son acheminement.
- etc....
[NDLR : Et j'ajoute que le cinéma numérique implique une refonte complète du travail sur la chaine  de l'image, depuis la prise de vue et jusqu'au traitement en post-production. Le fameux workflow, dont tout le monde se gargarise, sans vraiment réfléchir aux implications en termes de formation et de transformation des métiers à venir].

De tout cela, pas un mot, pas un débat.

Et le corps enseignant, qui, malgré tout, dans sa majorité, n'est pas d'accord, ne dit rien. Il s'est levé comme un seul homme quand on leur a fait croire qu'il allait y avoir des pertes d'heures suite à la fusion des options Image et Montage.... Mais c'est le plus vieux truc du monde: on vous sort une belle couleuvre, sur laquelle tout le monde manifeste. Puis, on retire la couleuvre en disant: "ok, vous avez gagné" et tout le reste de la réforme passe, puisque les gens pensent qu'ils ont "gagné". C'est une des plus vieilles techniques du monde, que ce soit en politique, à la guerre ou aux échecs. Il faut croire qu'il serait bon de mettre des cours d'échecs en IUFM. Ah zut, suis je bête, on va les supprimer.

samedi 2 février 2013

Février, c'est le mois des métiers du cinéma

Plusieurs manifestations sont concentrées en ce mois de février : tout d'abord Location Expo, le Salon des lieux de tournage, les 14 et 15 février, à La Villette. Ensuite, L'industrie du rêve présente la 13ème édition de Où faire le cinéma ? : PART I, du 17 au 22 février, avec les 20 et 21 février les Rencontres Art et Technique sur le thème : Le "Made in France", réalité ou fiction ? Puis, les 22 et 23 février, le 13ème "micro salon" de l'AFC, à la FEMIS, rue Francoeur, comme les années précédentes. Enfin, last but not least, un workshop AOA (Assistants Opérateurs Associés) et A-DIT (Association Française des DIT) sur les nouvelles technologies ARRI, CODEX, ZEISS et le rôle du Digital Imaging Technician dans le paysage cinématographique français. Le lieu : TSF, à La Plaine Saint-Denis.
Il y aura partout du beau monde en perspective, et sans doute beaucoup à faire et à échanger.


vendredi 1 février 2013

Qu'est-ce qu'un DIT ?

Qu'est-ce qu'un Digital Image Technician ? Réponse sur le site de l'ADIT qui est l'Association Française des DIT, laquelle vient de publier un guide intitulé Le métier de DIT. Bon, ça ne nous dit pas comment il faut traduire le terme anglais, mais on peut supposer que "Technicien de l'Image Numérique" c'est un peu long et pas très sexy à dire en initiales. On en restera donc à DIT pour le moment...
C'est peut-être d'ailleurs cette difficulté à trouver un terme qui convienne en français qui a fait que nos bons inspecteurs Educ Nat ont encore une fois passé à la trappe ce qui aurait pu être une bonne voie d'ouverture pour l'option "Métiers de l'Image" en BTS Audiovisuel. Encore une occasion ratée de faire une véritable réforme. Il est vrai que ces "Inspecteurs" et leurs larbins sont passés maitres dans l'art de manier le plumeau plutôt que la tondeuse à gazon.On peut donc dire arrivederci, à dans dix ans...